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Le nouvel instrument européen pour lutter contre les chantages et pressions économiques adopté par le Parlement européen

Un moment historique en séance plénière du Parlement européen à Strasbourg en matière commerciale ! Les eurodéputés ont adopté par une écrasante majorité le nouvel instrument européen anti-coercition. Cette adoption est une victoire pour l'Union européenne et ses citoyens dans la lutte contre la coercition économique exercée par des pays tiers. La députée européenne Marie-Pierre Vedrenne, rapporteure pour le groupe Renew Europe, a joué un rôle clé dans l'élaboration de cet instrument.  

 « Ce règlement c’est notre crédibilité sur la scène internationale ! », affirme Marie-Pierre Vedrenne. Le commerce est un moteur essentiel de la croissance économique. Dans cet esprit, l'Union européenne soutient un commerce ouvert, ambitieux, équitable et respectueux des règles internationales. « Cependant, lorsque des États tiers tentent de perturber ces règles pour imposer leur agenda politique, il devient impératif que l’Union européenne puisse riposter, afin de défendre ses intérêts économiques, sa liberté et sa souveraineté », souligne la co-présidente de la commission du commerce international.   

 L’instrument anti-coercition est le fruit de nombreuses années d'efforts et d'engagement de la députée en faveur de l'autonomie, de la souveraineté commerciale et de l’unité européenne. Il permettra à l’Europe de réagir face à des mesures illégales et unilatérales dirigées contre ses intérêts économiques, tout en favorisant le dialogue en premier lieu.   

 « Nous nous félicitons de ce nouvel instrument, qui nous permettra désormais de répondre au chantage économique ! », se réjouit Marie-Pierre Vedrenne. « L'Union montre sa détermination à protéger ses citoyens, ses entreprises et sa souveraineté. Nous avançons vers une Europe capable de participer activement à la construction de la mondialisation et de défendre ses valeurs et ses intérêts dans un cadre démocratique. »